Le 11 février dernier, à l’approche de la Saint-Valentin, le Centre communautaire francophone de Cambridge (CCFC) conviait les couples à venir s’amuser à l’occasion d’une danse paroissiale. En effet, l’évènement avait également pour objectif de recueillir des fonds pour la paroisse Saints-Martyrs-canadiens.

L’activité avait lieu en soirée et ce n’est que lentement que les participants sont arrivés sur les lieux. Quelques dizaines de personnes ont répondu à l’invitation des organisateurs, ce qui correspondait approximativement à leurs attentes.

Le CCFC et la paroisse jouaient néanmoins de malchance puisqu’une autre danse du même genre se tenait au même moment à Hamilton. Qui plus est, la veille, des funérailles avaient endeuillé de nombreux membres de la communauté. Tout ceci a fait en sorte que l’assistance à la danse de Cambridge a été un peu moins importante que prévu. Cependant, il est à noter que l’organisme a réussi à attirer quelques participants plus jeunes que ce que l’on voit habituellement lors de ses activités, atteignant ainsi un des buts qu’il s’était fixé.

La portion musicale de l’évènement avait été laissée aux bons soins d’un animateur avec lequel le CCFC fait souvent affaire. Celui-ci, à grand renfort de musique populaire surtout américaine, a créé une ambiance « disco » qui était renforcée par l’éclairage. Les décorations ne laissaient aucun doute quant au fait qu’il s’agissait de la fête des amoureux. Quelques personnes se sont risquées sur la piste de danse, mais la plupart ont simplement préféré discuter entre amis. Un léger goûter a été servi au milieu de la soirée qui s’est terminée par le tirage d’un prix de présence.

Côté finance, les profits générés par l’activité étaient partagés entre la paroisse, à qui est revenu l’argent amassé par le biais du prix d’entrée, et le CCFC, qui, responsable du bar, en a encaissé les revenus.

Le lendemain, le CCFC recevait les amateurs de danse, cette fois de style country. La prochaine activité d’importance sera, en mars, la Journée internationale de la femme qui, au Centre communautaire francophone de Cambridge, en sera à sa septième édition.