La mission de La Maison de la culture francophone du Niagara (MCFN) est résumée dans son nom même. Pour que l’organisme puisse s’acquitter de son rôle et contribuer au développement d’activités socioculturelles dans sa région, encore faut-il qu’il ait l’appui de la communauté. Le 29 avril dernier, la 2e assemblée générale annuelle de ce jeune organisme est venue confirmer qu’il a sa place dans le Niagara.

Ce fut l’occasion, pour la présidente Yolande Lécuyer, de présenter le bilan de la dernière année : activité multiculturelle à l’école Jean-Vanier, camp de robotique en collaboration avec d’autres organismes, promotion efficace d’une comédie musicale par des élèves du secondaire, planification stratégique pour les trois prochaines années, etc. La MCFN en est encore à se faire connaître et à se tailler une place dans la vie communautaire de la Péninsule où elle espère entre autres faciliter les échanges entre les divers acteurs locaux de la scène socioculturelle.

Pour ce faire, l’organisme dispose de moyens financiers limités et a terminé l’année 2018 avec à peine plus de 1000 $ en banque. C’est pourquoi la vigueur du conseil d’administration est d’autant plus importante pour faire grandir La MCFN. Yolande Lécuyer, Suzanne Giroux et Philippe Gagnon, dont les postes étaient en élection, se sont vus confirmés dans leurs fonctions et poursuivront leur travail auprès de Stéphanie Filippi, Annie Boucher, Fété Kimpiobi et Béatrice Groux.

Petit à petit, La MCFN fait son chemin et continue à participer au dynamisme de la communauté de langue française.

PHOTO : L’assistance s’est exprimée lors de l’AGA.