Le jeudi 10 décembre, le Centre francophone Hamilton (CFH) tenait son assemblée générale annuelle. Comme pour l’ensemble des organismes, ce fut l’occasion de se replonger dans une année administrative qui s’est conclue dans les premiers jours du confinement printanier.
Dans son rapport, la directrice générale, Lisa Breton, a fait le détail des activités, réalisations et nouveautés.
« L’année part du bon pied avec une FrancoFEST tout aussi rassembleuse et festive que les années précédentes, un camp d’été qui dessert de plus en plus de familles et créent des emplois francophones pour nos jeunes, une programmation culturelle qui offre des occasions sociales pour la communauté et des services qui répondent aux besoins des francophones de la grande région », a relaté la directrice générale.
Au chapitre des spectacles, on note le passage à Hamilton des Rats d’Swompe, de BoucharDanse, d’Amélie et les Singes Bleus, etc. En ce qui touche à l’aspect communautaire de la programmation, le club de lecture, le cercle d’improvisation, les marches guidées, etc., ont continué de rassembler leurs participants respectifs. Des ateliers ont également émaillé la dernière année : écriture, musique, art visuel, danse… Il y en avait pour tous les goûts.
Le camp d’été 2019 a aussi attiré 66 jeunes qui ont bénéficié d’une panoplie de divertissements.
Mme Breton a conclu en faisant remarquer que la pandémie, sur laquelle s’est terminé le dernier exercice, a mis en relief l’adaptabilité du CFH.
Après l’adoption du rapport financier, les élections se sont déroulées sans grand suspense. En effet, bien que quatre postes étaient à pourvoir, seuls deux personnes se sont présentées. Clarence Seunarine et Marc Darrouzes, qui siégeaient déjà au conseil d’administration, ont donc été réélus par acclamation.
D’autres administrateurs pourront être recrutés au cours de l’année si l’occasion se présente.
Avant que les membres de l’assistance ne retournent vaquer à leurs occupations, ils ont été invités à s’exprimer quant à ce qu’ils aimeraient se voir offrir par le CFH en termes d’activités ou de services. Comme quoi l’organisme, même avec la distance imposée par la pandémie, demeure attentif aux goûts et aux besoins de la communauté.
PHOTO – Lisa Breton, directrice générale